FAITS SAILLANTS

FAITS SAILLANTS FINANCIERS

COUP D’OEIL SUR L’EXERCICE 2016-2017

En 2016-2017, nous nous étions fixé l’objectif d’investir dans du contenu distinctif, conformément à notre plan stratégique. En outre, nos services ont bénéficié du supplément de financement de 75 millions de dollars accordé par le gouvernement fédéral. Nous avons réussi à offrir aux Canadiens plus de contenu original et à obtenir une forte croissance sur nos plateformes numériques. L’année 2016-2017 a également été celle des Jeux Olympiques de Rio 2016, et notre couverture de cet événement a donné une visibilité sans pareille à tous les athlètes canadiens.

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  ÉVÉNEMENTS

  Hausse des revenus tirés des événements grâce aux revenus publicitaires générés par la diffusion des Jeux Olympiques de Rio 2016.

  L’an dernier, nos activités de diffuseur hôte des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 à Toronto avaient engendré des revenus au titre de la publicité et de la production.

  ACTIVITÉS COURANTES

  Baisse des revenus tirés de nos activités courantes attribuable aux faits suivants :

  • diminution des revenus publicitaires à la télévision généraliste, en lien avec la morosité persistante du marché canadien de la publicité à la télévision;
  • fléchissement de nos revenus d’abonnement, en phase avec l’ensemble du secteur de la câblodistribution, qui est touché par les tendances à la réduction des services et au désabonnement.

  Ces reculs ont été compensés en partie par la croissance de nos revenus numériques à la faveur de notre virage vers une programmation numérique et de l’augmentation de nos auditoires numériques.

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  ÉVÉNEMENTS

  Hausse des dépenses découlant d’événements attribuable aux coûts d’acquisition des droits de diffusion et aux coûts de production découlant des Jeux Olympiques de Rio 2016. Ces coûts ont été supérieurs à ceux occasionnés dans l’exercice précédent par la couverture des Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 à Toronto.

  ACTIVITÉS COURANTES

  Hausse des dépenses associées aux activités courantes du fait de notre investissement dans du contenu original canadien à la télévision et de l’accroissement de notre portée numérique sur plusieurs fronts. Ces injections d’argent supplémentaire dans le contenu et le numérique s’inscrivent dans la mise en oeuvre de notre plan stratégique.

  Cette hausse a été compensée en partie par les économies découlant des initiatives de réduction des coûts et par une diminution des dépenses au titre des régimes de retraite.

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  Notre crédit parlementaire total pour les activités d’exploitation a augmenté de 75 millions de dollars, conformément à l’annonce faite en ce sens par le gouvernement en mars 2016. Cette augmentation est compensée en partie par une légère diminution du financement des immobilisations comptabilisé en 2016-2017.

En 2017, les variations des revenus et des dépenses résumées précédemment ont été les principaux facteurs à l’origine d’un résultat d’exploitation sur une base courante négatif de 22,3 millions de dollars, alors que ce résultat était proche du point d’équilibre dans l’exercice précédent. La perte prévue pour l’exercice est financée par des réserves constituées dans les années précédentes, et reflète les nouveaux investissements et l’augmentation de nos coûts de diffusion.

Le résultat net en IFRS correspond à une perte de 70,8 millions de dollars, qui est supérieure à la perte de 64,0 millions de dollars enregistrée en 2015‐2016. Il traduit l’évolution des revenus, des dépenses et du financement public dont il a été question précédemment et comprend en outre d’autres dépenses qui ne devraient pas exiger le décaissement de fonds d’exploitation à court terme.