VIABILITÉ FINANCIÈRE

RAPPORT DE GESTION

 

Voici quelques renseignements utiles pour faciliter la compréhension du rapport de gestion :

SAISONNALITÉ

La majeure partie de nos revenus autogénérés est constituée de revenus publicitaires. Ceux-ci suivent un cycle saisonnier dicté par notre grille de programmation et varient aussi en fonction des conditions du marché, de l’économie en général et du rendement de la grille. Les revenus d’abonnement sont relativement plus stables d’un trimestre à l’autre. Les dépenses d’exploitation tendent également à suivre un cycle saisonnier, fluctuant aussi au gré des variations de la grille de programmation. Les crédits parlementaires sont constatés en résultat en fonction du budget annuel, qui reflète les influences saisonnières sur les dépenses et les revenus autogénérés.

Le caractère saisonnier de nos activités est traité plus en détail dans la section Viabilité financière.

DÉCLARATIONS PROSPECTIVES

Ce rapport renferme des déclarations prospectives sur la stratégie, les objectifs et les résultats d’exploitation et financiers escomptés. Les verbes « croire », « s’attendre », « prévoir », « anticiper », « projeter », « planifier », « estimer », de même que l’emploi du futur ou du conditionnel ainsi que de mots et d’expressions semblables dénotent généralement des énoncés prospectifs. Ces déclarations s’appuient sur les hypothèses générales suivantes : le financement public de CBC/Radio-Canada demeure conforme aux annonces faites dans le budget fédéral et le contexte de la réglementation de la radiodiffusion ne changera pas fondamentalement. Les principaux facteurs de risque et d’incertitude sont décrits à la section Gestion des risques et gouvernance du présent rapport. Toutefois, certains risques et certaines incertitudes échappent à notre volonté et restent difficiles à prévoir. Ceux-ci comprennent, sans s’y limiter, des facteurs liés à la conjoncture économique et financière, au marché publicitaire ainsi que d’autres facteurs d’ordre technologique et réglementaire. En raison de l’influence de ces facteurs ou d’autres facteurs, les résultats réels peuvent différer considérablement des prévisions contenues, de manière explicite ou implicite, dans les déclarations prospectives.

INDICATEURS DE RENDEMENT

Nous mesurons notre rendement au moyen de données fournies par des outils internes et des fournisseurs externes. Ces données s’appuient sur des calculs qui nous paraissent raisonnables pour la période visée, mais leur collecte comporte certaines difficultés, en particulier du fait de la transformation numérique qui caractérise actuellement l’industrie médiatique. Par exemple, les Canadiens consomment aujourd’hui sur de multiples appareils des contenus proposés par un nombre croissant de fournisseurs. Au fil de l’évolution des habitudes des consommateurs, les entreprises spécialisées dans la mesure d’auditoires, de même que la Société, raffinent leurs méthodologies et adoptent de nouvelles technologies leur permettant de recueillir des données précises et exhaustives. Avec l’avènement de nouvelles méthodes de collecte des données, certains chiffres pourraient ne plus être comparables avec les chiffres publiés précédemment. Comme certaines de ces données sont employées pour mesurer nos indicateurs de rendement stratégiques et opérationnels, il nous faudra peut-être revoir nos cibles et nos résultats antérieurs afin de faciliter la comparaison des données et d’appliquer les pratiques exemplaires de l’industrie.

MESURE NON CONFORME AUX IFRS

Le présent rapport comprend la mesure « résultat d’exploitation sur une base courante », qui n’a pas de sens normalisé prescrit par les normes internationales d’information financière (IFRS). Il est donc peu probable qu’on puisse la comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres entreprises. Plus de détails sont fournis à la section Viabilité financière.