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Annual report 2013-2014 Going the Distance
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Saisonnalité et données financières trimestrielles

Le tableau ci-dessous présente un condensé des données financières des huit trimestres précédents. Ces données trimestrielles ne sont pas vérifiées, mais ont été établies sur la même base que les états financiers consolidés annuels. Nous abordons dans le présent rapport de gestion les facteurs qui ont fait en sorte que nos résultats ont varié au cours des huit derniers trimestres.

 

(en milliers de dollars canadiens) Exercice terminé le 31 mars 2014 Exercice terminé le 31 mars 2013
T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4
Revenus 184 152 127 568 189 897 266 213 182 705 126 970 159 680 176 710
Dépenses (467 000) (387 480) (460 893) (558 344) (524 650) (408 045) (434 868) (503 400)
Financement public 253 982 266 392 230 585 339 939 303 048 269 377 241 285 341 140
Résultat avant éléments hors activités opérationnelles (28 866) 6 480 (40 411) 47 808 (38 897) (11 698) (33 903) 14 450
Éléments hors activités opérationnelles (1 515) (759) (286) (404) (496) (628) 19 354 846
Résultat net de l’exercice (30 381) 5 721 (40 697) 47 404 (39 393) (11 181) (10 095) 25 377
Résultat d’exploitation sur
une base courante
(590) 9 443 (15 841) 53 417 (3 885) (11 181) (10 095) 25 377

 

Nos résultats opérationnels sont assujettis à des fluctuations saisonnières qui ont des retombées importantes d’un trimestre à l’autre. À l’exclusion du crédit parlementaire, environ le tiers du total des revenus et des sources de financement de la Société provient de revenus publicitaires ayant tendance à suivre un cycle saisonnier, ceux du deuxième trimestre étant habituellement les moins élevés en raison de la baisse des cotes d’écoute pendant la saison estivale.

Les revenus publicitaires tendent également à varier en fonction des conditions du marché et de la conjoncture économique en général ainsi qu’en fonction de la grille de programmation, les troisième et quatrième trimestres étant les plus élevés. Une comparaison des revenus des exercices 2012-2013 et 2013-2014 montre un fléchissement aux troisième et quatrième trimestres de 2012-2013, qui témoigne principalement de l’impact sur les revenus publicitaires du lock-out de la LNH et d’autres réductions effectuées dans la programmation dans le but de comprimer nos coûts. La proportion des revenus publicitaires dans le total des revenus et sources de financement diminuera après la fin de l’entente conclue par CBC avec la LNH en juin 2014.

Les dépenses opérationnelles ont également tendance à suivre un cycle saisonnier lié à la grille de programmation. Comme le tableau le démontre, elles ont été relativement inférieures aux deuxièmes trimestres de 2013-2014 et de 2012-2013. Les dépenses opérationnelles ont par ailleurs tendance à être plus élevées au quatrième trimestre, puisque c’est la période de l’année où la Société prépare la saison de radiodiffusion automnale et finalise les projets à livrer avant la fin de l’exercice. Les dépenses élevées comptabilisées au premier trimestre de 2012-2013 tenaient surtout aux initiatives de restructuration non récurrentes mises en œuvre pour réduire les coûts, suite au budget fédéral de 2012 et à d’autres pressions financières. Les dépenses comparativement plus élevées comptabilisées aux troisième et quatrième trimestres de 2013-2014 s’expliquent essentiellement par les coûts de programmation supplémentaires engendrés par la couverture des Jeux olympiques 2014 de Sotchi et par le retour de l’émission Hockey Night in Canada.

Le financement public est comptabilisé dans le résultat de la Société en fonction des dépenses nettes budgétées pour le trimestre. Les budgets mensuels et trimestriels sont établis en s’appuyant sur le budget annuel approuvé par le Conseil d’administration au début de chaque exercice et reflètent le crédit parlementaire attendu pour l’exercice ainsi que les fluctuations saisonnières des dépenses et des revenus autogénérés.

D’autres facteurs peuvent avoir une incidence sur le résultat net d’un trimestre à l’autre, notamment les gains ou les pertes de change, les fluctuations de la juste valeur des instruments financiers dérivés ainsi que la dépréciation et la vente d’actifs. Le cas échéant, ces variations sont comptabilisées en éléments hors activités opérationnelles. Comme cela est indiqué dans le tableau plus haut, la Société a comptabilisé, au titre de ces éléments, des gains et des pertes moins élevés en 2013-2014 qu’en 2012-2013.

 

CBC/Radio-Canada